Dépaysement. Une curiosité soudaine se manifeste. Formes, textures, structures suscitent des ambiances intenses. Ces ruptures marquées avec le Vieux Continent nous plongent dans un univers différent. 

 

Engagement. Un mélange de culture s’opère. L’appropriation du contexte prend forme.
La diversité de la palette végétale nous montre toutes les options exploitables. L’arganier, symbole de la région, nous invite à ré exploiter le caractère naturel du site.
A contrario, les jardins maîtrisés par l’Homme dégagent des structures ordonnées.
Ces contrastes forment l’idée maîtresse de notre proposition.
Des repères notables seront disposés à la croisée des axes permettant de guider le regard du visiteur Notre souhait est de donner un caractère prestigieux au complexe à travers des jardins foisonnants etremarquables. 

 

Art. Suite à un processus de recherche, la mosaïque de par ses formes devient l’élément structurant de notre projet. Couleurs, formes, textures deviennent alors sources d’inspirations. Notre palette végétale s’imprègne de cette diversité. 

 

Sélection. Afin de rattacher le projet à l’existant, deux lignes perpendiculaires s’accordent avec l’Atlas et le bâti. Ces axes permettent d’inviter l’usager en jouant avec des perspectives.
De plus, cette cohérence avec l’environnement se retrouve dans la gradation progressive entre l’espace naturel et les jardins structurés. 

Dans le but de joindre ces deux milieux, nous avons décidé de briser les codes de la mosaïque en jouant avec des formes déstructurées, en relation avec les points forts du bâti.
Nous proposons également d’implanter la fonction de production à la pépinière pour tendre vers uneautonomie au sein de l’institut. 

Des espaces préservés d’actions humaines permettent l’évolutiondu projet en fonction des souhaits futurs.